Alonso : L’accident révèle que le pilote espagnol n’a jamais existé

Les rumeurs autour de Fernando Alonso se multiplient mais la réalité semble bien pire que les théories. C’est en tout cas ce qu’un nouveau témoignage permet d’envisager.

Que s’est-il réellement passé le 22 février peu avant 13h sur le circuit de Catalunya ? La question reste en suspens face aux silences conjugués de la FIA, de la FOM et de McLaren. Correspondant pour le très sérieux Daily Horror, Tyron Boung affirme que la carrière de Fernando Alonso pourrait non seulement s’arrêter suite à son accident lors des essais hivernaux mais, pire encore, que l’Espagnol n’a sans doute jamais existé.

Dans un article paru ce vendredi sur le site Internet de la publication, entre des photos de la playmate de la semaine et une enquête sur la nouvelle couleur de cheveux de Kim Kardashian, le reporter se penche à nouveau sur le crash et cite un témoignage éloquent : « Peu avant le virage, un halo lumineux s’est mis à entourer la McLaren, » explique une source anonyme inédite. « J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un défaut de la lumière de l’ERS ou d’une apparition ectoplasmique comme en voit souvent par ici. »

Rapidement cependant, ce témoin a compris qu’il n’avait pas affaire à un simple problème technique : « En entamant le virage, j’ai vu que le halo lumineux grésillait, sautait par intermittence, comme quand on perd le signal sur une télévision. Pendant plusieurs secondes, il n’y avait plus de pilote dans la voiture. C’était comme si Alonso avait disparu. Ensuite, il est revenu, en clignotant, mais la MP4-30 était déjà dans le mur. »

Plus étonnant : des sources proches de l’enquête ont assuré que les premiers médecins arrivés sur la scène de l’accident ont d’abord trouvé un baquet totalement vide avant que le pilote ne réapparaisse quelques instants plus tard, inconscient, pour être pris en charge et emmené vers le centre médical du circuit. Peu après, Alonso a été héliporté vers un hôpital proche, où il est resté trois jours et trois nuits.

Après plusieurs jours de silence, McLaren a expliqué la sortie de piste par une trajectoire trop large et un vent trop fort. « C’est du délire, » proteste un autre témoin oculaire, arrivé à Barcelone quelques heures après l’évacuation du double Champion du Monde. « Alonso était au milieu de la piste, quasiment à l’arrêt, limite en marche arrière. S’il était sorti à grande vitesse, il y aurait eu plus de dégâts sur la voiture ! Non, là, la thèse officielle bat de l’aile. On nous cache quelque chose. »

Les thèses du choc électrique et de la perte de conscience, un temps évoquées, demeurent envisagées par les enquêteurs. Cependant, ces témoignages apportent un nouvel éclairage. « On ne peut pas exclure que Fernando Alonso tel qu’on le connait ne soit qu’une création informatique, un hologramme, » s’est-on ému dans l’entourage de l’ancien pilote Ferrari et Renault. « Sa capacité à pouvoir se dédoubler nous avait toujours étonnée, mais on se disait qu’avec le talent qu’il avait, il était capable de tout. […] Avec le recul, c’est vrai qu’il ne serrait jamais la main à personne… Comment diable pouvait-il soulever ses trophées sur les podiums ? »

Etienne Aubert, président de la société Hologramme Hill, spécialisée dans la logistique et la fourniture d’hologrammes dans l’industrie automobile, n’est pas étonné : « La technologie des hologrammes a beaucoup progressé depuis quelques années. Qu’un hologramme soit capable de piloter une voiture de course et devienne Champion du Monde de Formule 1, c’est plus que probable. Et puis c’est beau. […] Forcément, tout n’est pas maîtrisé et les problèmes informatiques restent possibles. La « perte de mémoire » dont on parle est certainement une réinitialisation des paramètres suite à une erreur système. C’est problématique quand ça arrive en piste. » Il se veut malgré tout rassurant : « Sur un hologramme vieux de 33 ans, une semaine pour restaurer la mémoire, ça reste correct. »

Ces dernières années, déjà, plusieurs pilotes ont été soupçonnés d’être des hologrammes. Malgré tout, l’analyse poussée de plusieurs dizaines d’heures d’enregistrements et de données ont démontré qu’Adrian Sutil ou Bruno Senna étaient seulement inexistants ou invisibles en course.

La dernière possibilité pour expliquer l’état d’Alonso serait celle de la simple sortie de piste entraînant une commotion cérébrale, même si l’enquête semble s’en éloigner. « L’hypothèse de l’accident et de la commotion est bien moins vendeuse et bien plus farfelue, » nous a expliqué le grand journaliste d’investigation Greggy D. joint par téléphone pendant un footing. Alors que le pilote McLaren va manquer le Grand Prix d’Australie, le mystère ne cesse de s’épaissir… ou d’être épaissi, c’est selon.

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