Spyjer répond au questionnaire de Prost
|Dans l’attente de la reprise de la saison de Formule 1, et afin de maximiser les revenus publicitaires du site du SAV, nous vous proposons de découvrir les membres de notre équipe. Pour cela, chacun à tour de rôle, apporte ses réponses au Questionnaire de Prost. Après Benlop, c’est au tour de Spyjer !
Sa vie d’avant… ou presque
C’est dans les coulisses du Cirque Amar, en représentation à Châlons-en-Champagne, que vit le jour Jérémy Garibaldi, fils d’un couple de trapézistes volants. Enfant de la balle, le jeune Spyjer se serait tout naturellement dirigé, à son tour, vers une carrière de voltigeur, s’il eut pu faire abstraction de son irrépressible peur du vide.
Peu amateur de clowneries, et accessoirement allergique au maquillage, Spyjer s’initie alors à la magie. Se rêvant en David Copperfield français, il postule à la prestigieuse mais éphémère Gérard Majax Performing Art Academy de Nice. Il n’a alors que douze ans, et malgré des auditions prometteuses, sa candidature n’est pas retenue.
Autodidacte par nature, c’est finalement en s’inspirant des numéros proposés par Sylvain Mirouf dans Studio Gabriel, que Spyjer affinera sa maîtrise de la prestidigitation. C’est ainsi qu’il parvint, à tout juste dix-sept ans, à convaincre le directeur du cirque de tester en public, un numéro incontournable : la femme sciée en deux. Nous sommes le 11 février 1998, le film « Les Visiteurs II : Les couloirs du temps » sort au cinéma : c’est une catastrophe. Le numéro de magie aussi.
Et pourtant, miracle de la médecine, Sarah, l’acolyte de Spyjer survit à ses blessures bien que privée de ses membres inférieurs. Le duo peut ainsi poursuivre sa collaboration, non sans succès, jusqu’à ce que Sarah meure soudainement, le coup brisé après avoir « marché » sur sa propre barbe.
Anéanti, Jérémy quitte la troupe et s’installe définitivement dans la Marne où il met à profit, depuis plus de quinze ans, sa maîtrise de la scie, en tant que bûcheron. Détenteur du record de France de « scie passe-partout », il se qualifie pour le Timbersport World Trophy en 2012. Un mauvais lumbago le contraint cependant à un forfait de dernière minute : à défaut de pouvoir suivre l’événement à la télé, il préfère regarder TF1 que Vivement Dimanche, sur la deux. Il découvre ainsi la Formule 1 avec la victoire de Pastor Maldonado. Le début d’une belle histoire d’amour : rien d’étonnant pour un bûcheron. La suite, vous la connaissez.
Spyjer et la famille du SAV
Saviez-vous que Spyjer est passé maître dans la réparation de fours pendant le SAV ? Si ce n’est pas le cas, c’est que vous n’avez pas encore écouté toutes les émissions avec Spyjer au micro.