COVID-19, Règlement 2021, Simracing : le SAV de l’actu F1, en podcast

C’est là que l’on voit avec ce virus les limites de nos systèmes actuelles, aussi bien de façon général que dans la F1. Soit on persiste à relancetr la machine malgré les difficultés, soit on annule tout au risque de faire écoruler tout le système éocnomique autour.

En matière de santé et de réalisme, je serais plutôt partisant de la seconde solution. Même si la F1 est modulable, cela reste un championnat international à organiser et ça ne se fait pas en peu de temps. De même que le virus ne va pas disparaître sitôt le confinement terminé. Et je ne parle même pas des implications politiques, sociales et économiques (ce n’est pas le sujet) qui pourrait embraser certains pays.

Organiser des courses seraient fun, certes. Ce serait un « symbole » en un sens. Mais est-ce pour autant faisable ? Je n’en suis franchement pas certains, ou alors on fait que de l’exhibition, permettant ainsi aux voitures de rouler, aux équipes de tourner, et pourquoi pas de faire évoluer et tester les voitures pour une saisons prochaine plus spectaculaire encore.

Comme je le dis souvent (et comme on me le repproche souvent), le pire ce n’est pas le virus lui même (et si on reprend nos vies comme avant il y en aura d’autres c’est certains), mais les conséquences qu’il provoque (en grande par « notre » faute, ou par la faute d’un monde qui était déjà devenu fou auparavant). Bref, le virus disparaîtra peut-être un jour, mais ce ne sera pas pour autant la fin. Le pire est, je le pense et en un sens je l’espère, à venir. Dans cet optique il est sans doute plus prudent de figer les choses. De toute façon, reprise ou pas, il y aura des conséquences !