GP Singapour 2018 – Le SAV de la course, en podcast, avec Julien Fébreau
|Le SAV de la F1 est heureux de vous présenter le podcast sur la course du Grand Prix de Singapour 2018 de Formule 1, où nous sommes revenus sur la victoire de Lewis Hamilton (Mercedes), devant Max Verstappen (Red Bull – TAG Heuer) et Sebastian Vettel (Ferrari).
Ce mardi 18 septembre nous sommes revenus en direct, comme après chaque course, sur le GP de Singapour 2018 de F1. Nous vous proposons aujourd’hui de le découvrir ou de le re-découvrir avec le podcast de cette émission.
Le sommaire
En compagnie de Skani, Dino, Shinji et notre invité Julien Fébreau, voici le programme des réjouissances :
- L’avis de nos chroniqueurs sur la course et les notes attribuées ;
- Notre analyse de la course avec les résultats du Quinté± ;
- Nos Drive Through, sanctionnant ce qui ne nous a pas plus ;
- Notre sondage sur les faits marquants ;
- Un petit chiffre inutile
Le fait marquant
Le Quinté+/-
[expand title= »ATTENTION, SPOILER ALERT ! Cliquez ici pour consulter le tableau des votes du Quinté+/-. »]
Pilote | Equipe | Points | Point Bonus/Malus | Score | Votes + | Votes - |
---|---|---|---|---|---|---|
Hamilton | Mercedes | 8 | 495 | 503 | -8 | |
Verstappen | Red Bull | 6 | 414 | 414 | 0 | |
Alonso | McLaren | 4 | 285 | 285 | 0 | |
Leclerc | Sauber | 3 | 167 | 171 | -4 | |
Sainz Jr. | Renault | 2 | 98 | 102 | -4 | |
Gasly | Toro Rosso | 12 | 21 | -9 | ||
Ericsson | Sauber | 2 | 12 | -10 | ||
Hülkenberg | Renault | 1 | 14 | -13 | ||
Räikkönen | Ferrari | -13 | 8 | -21 | ||
Ocon | Force India | -18 | 18 | -36 | ||
Ricciardo | Red Bull | -20 | 12 | -32 | ||
Hartley | Toro Rosso | -20 | 0 | -20 | ||
Stroll | Williams | -26 | 6 | -32 | ||
Vandoorne | McLaren | 1 | -59 | 11 | -70 | |
Vettel | Ferrari | -91 | 52 | -143 | ||
Bottas | Mercedes | -141 | 0 | -141 | ||
Magnussen | Haas | -149 | 0 | -149 | ||
Grosjean | Haas | -167 | 20 | -187 | ||
Sirotkin | Williams | -180 | 62 | -242 | ||
Pérez | Force India | -546 | 0 | -546 |
Cette émission a été enregistrée lors de sa diffusion en direct, le mardi 18 septembre 2018 à partir de 20h30.
Un SAV plus sage que d’habitude, mais la présence de Julien Fébreau était bien agréable et intéressante, donc ce n’est pas bien grave. 🙂
Au passage j’aurais une question pour le Sav, s’il peut y répondre bien sur, au sujet d’Ocon. On parle beaucoup de troisième voiture, il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre, et parmi les argument il y a l’aspect financier.
Enfin bref, au risque de poser une question idiote, à une époque il n’y avait pas une troisième voiture que l’on appelait le « mulet » ? Certes ce n’était qu’une voiture de remplacement si j’ai bonne mémoire, mais elle était bel et bien là ! Alors pourquoi ne pas reprendre cette idée de « mulet », mais avec un jeune pilote dedans. Après je dis peut-être une connerie…
Le mulet était bien uune troisième voiture dont disposait chaque écurie, mais elle n’était pas confiée à un troisième pilote.
Il s’agissait d’une voiture de réserve, que les deux pilotes de l’écurie pouvaient utiliser au cours du week-end, en cas de souci sur leur voiture, en particulier au cours d’une séance d’essais, voire durant le tour de chauffe.
Le mulet a disparu durant les années 2000, au moment des premières mesures de réduction des coûts.
Les troisièmes voitures engagées ponctuellement pour une ou quelques courses sont quelque chose d’un peu différent, assez répandues jusque dans les années 70/80. De grands pilotes ont fait leurs débuts ou eu leur première chance dans un top team de cette façon, même si il s’agissait souvent de monoplaces des saisons précédentes.
Il me semble même dans mes souvenirs que c’était pas forcement une sinécure d’utiliser le mulet vu qu’il avait soit des réglages « neutres », puisque possiblement utilisable par un des 2 pilotes, ou bien les réglages d’un des 2 pilotes (donc si c’est l’autre qui l’utilise en course ça peut être finalement galère).
Oui; d’ailleurs, certains pilotes négociaient dans leur contrat le fait d’avoir le mulet réglé pour eux, au détriment de leur coéquipier. C’était devenu un attribut du premier pilote.
Une super émission, avec un Julien Fébreau de marque qui partage sa passion mais aussi des infos et points de vus très intéressants sur le monde de la F1. En espérant le revoir dès que possible !
L’émission aura aussi été l’occasion de faire un peu un point des « deux tiers » de la saison, avec une analyse assez juste sur l’attitude globale chez Ferrari et Mercedes (course effrénée presque panique chez l’une, et approche plus terre à terre presque parfois cynique chez l’autre).
Aussi, pour revenir sur le premier point de Vandoorne au SAV, la description de J. Fébreau fait presque mal au coeur pour lui… (surtout que je ne l’ai pas épargné dans mes Q-). Un fait qui m’avait néanmoins marqué, c’était au GP de Spa, en FP3, quand Bottas l’a fichu hors de la piste. La première chose que lui demande son ingénieur : « Is the car ok ? », et on sent le mec qui déprime derrière son volant. Et c’est à mettre en comparaison à un Grosjean qui se foutait en l’air pour la Xème fois en début de saison, son ingénieur lui demande toujours en premier si il va bien… Ca fait contraste.
En effet, une très bonne émission. Merci à Julien Fébreau pour sa disponibilité et sa simplicité et bravo au SAV pour nous avoir offert cet échange avec lui.
Je suis d’accord avec toi, Wicoucou, la description qu’a fait Julien Fébreau de la situation de Vandoorne m’a également fait de la peine. J’avais déjà l’impression d’un très gros gâchis à propos de ce pilote. C’est encore pire maintenant…
Mis à part le GP de France où je savais d’avance que je ne pourrait écouter l’émission en live, la seule que je loupe c’est celle avec Julien Fébreau. Arg!!! Bon, j’avais qu’à pas partir en vacances 😛
Je viens de l’écouter, toujours très agréable à l’oreille. C’est super de pouvoir entendre un tel acteur en dehors de sa profession. Et ça en dit long sur le bonhomme. Chapeau bas!
Et Plasticine placé au tour 8 !