GP Bahreïn 2016 – Nico Rosberg l’emporte, désignez votre Quinté± !
|Après le Grand Prix de Bahreïn de F1 2016 et la victoire de Nico Rosberg (Mercedes) devant Kimi Räikkönen (Mercedes) et Lewis Hamilton (Mercedes), nous vous invitons à désigner le Quinté±, votre sélection des meilleurs et des pires pilotes de la course.
Comme tout les ans le SAV de la F1 vous propose son propre classement alternatif de la Formule 1, dévoilé lors de notre sempiternelle émission Le SAV de la course, et dont les auditeurs sont les acteurs principaux.
Pour constituer ce classement, après chaque course du championnat du monde de Formule 1, nous vous invitons à élire le Quinté±, c’est-à-dire sélectionner ceux qui, pour vous, ont été les meilleurs pilotes de la course, le Quinté+, mais aussi les pires, le Quinté-. Pour ce faire, il vous suffit remplir le formulaire ci-dessous. Vous avez jusqu’à ce lundi 4 avril, 19h00 pour cela.
Vous êtes aussi invité à nous donner si vous le souhaitez votre note sur 20 du Grand Prix. La moyenne de vos notes sera rajoutée aux notes des membres du SAV pour déterminer la valeur de ce Grand Prix.
Le résultat de vos votes sera dévoilé lors de la première partie du SAV de la course du Grand Prix de Bahreïn 2016, diffusé en direct ce même lundi 4 avril à 20h30. À cette occasion, nos chroniqueurs attribueront, s’ils le souhaitent, un point de bonus ou de malus à un des pilotes qui ne marquera pas de points dans le classement du SAV.
N’hésitez pas à partager votre vote en commentaire de cet article et à détailler les raisons de vos choix ! Merci de votre participation !
N.B. Chaque vote doit comporter de 6 à 10 pilotes différents, entre 3 et 5 dans le Quinté+, entre 3 et 5 dans le Quinté-. L’ordre dans lequel vous citez les pilotes ne compte pas. Tout vote ne respectant pas ce principe ne sera pas comptabilisé.
Note : Palmer et Vettel n’ayant pas pris le départ, ils ont été retirés du vote
A voté !
Sur TF1 il y avait la pub pour aller vidanger et chercher une autre bière, maintenant j’attends les pit stops de Grosjean.
C’est sûr que du temps de Jean-Louis Moncet, les V12 de chez Ferrari étaient plus fiables… 🙂
cela fait bien longtemps que je n’ai plus vu Romain Grosjean reprendre autant de plaisir dans une monoplace, quel régal sa course hier, dommage qu’il y est un accroc lors de son dernier pit stop.
En revanche, je ne suis toujours pas convaincu par Rosberg, mais bon cela doit être moi.
Hamilton 1er de mon quinté +
Pourquoi ? Simplement car ok il a fait un mauvais départ, mais Bottas a ruiné sa course, et avec une monoplace endommagé il a été très bon. Alors mon vote est pour contrecarré les votes négatifs qu’il recevra sans doute pour avoir été battu par Rosberg.
Grosjean au top ! Quelle surprise !!!
Et Vandoorne, excellents débuts en F1. De quoi pousser Button vers la retraite ?
Quinté +:
Grosjean: Un grand pilotage et une voiture magique.
Wehrlein: Génial de voir la Manor se battre dans le peloton, de beaux dépassements.
Vandoorne: Le rookie, non préparé, jetlagé, connaît à peine la voiture, et dans les points! Ne le laissez pas en Super Formula par pitié!
Ricciardo: Rien de transcendant, mais il fait le taf.
Rosberg: Il gagne…
Quinté -:
Bottas: Le strike du premier virage était limite.
Pérez/Hulkenberg: Du n’importe quoi, un pilotage sale et un classement extrêmement décevant. A oublier.
Grosjean en #1 ? Faut pas non plus exagérer après. Le soucis avec Grosjean c’est qu’il est difficile de savoir son réel niveau vu que son équipier abandonne a chaque fois. Il a fait une belle course mais la Haas est surtout très rapide, sans doute la meilleur voiture après la Mercedes et la Ferrari donc ça place est logique.
En 1 ou en 5 ça change rien de toute façon … -_-
Voici mon classement :
Les + : Grosjean, Räikkönen, Vandoorne, Wehrlein, mais aussi Gutiérrez car il semble finalement assez proche de Grosjean sur les deux derniers GP, avant des incidents dont il n’est pas responsable.
Même en qualif finalement il est loin derrière Grosjean mais pas au chrono, les écarts étaient très faibles pour les gars entre 9ème et lui.
Les – : Les pilotes Williams et Force India. C’est sacrément mou du g’nou bowdel.
Note du GP : 12,5
Putain chuis trop con, j’ai tellement mis de temps à écrire mon commentaire que l’heure de voter est passée 🙁
T’es un winner ^^
C’est Williams m’a appris à organiser mon temps.
Je mettrai 14 à ce GP. Je ne me souviens pas de 10 premiers tours aussi agités et excitants ! Il manquait peut-être un tout petit peu le côté stratégie que j’avais adoré à Melbourne
Quinté+
Grosjean
Magnifique confirmation
Wehrlein
C’est splendide de voir des Manor se battre à la régulière dans le peloton !
Vandoorne
Que dire ? 😀 Génial, ça relève presque de l’exploit
Ricciardo
Encore un très beau résultat
Quinté-
Les deux Force India et les deux Williams
Mais c’est quoi ça pour des moteurs Mercedes que tout le monde redoutaient ?
C’est dommage qu’on ne puisse mettre Vettel pour le manque de fiabilité de Ferrari 🙂
Du coup, je mets quand même mon commentaire, ce serait con d’avoir passé tout ce temps pour rien !
Bonne course, un poil meilleure que Melbourne mais avec des ingrédients différents. Une des courses les plus stratégiques de l’histoire, très disputée et indécise dans le peloton, qui avait déjà commencé dans la confusion du départ mouvement et qui du coup est restée un foutoir un peu trouble. Mais on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. Je mets 15.
Par ce vote, j’ai envie de souligner la qualité globale des pilotes, la densité du peloton, et une nouvelle génération qui pousse. D’où l’absence de suspects habituels (je parle de Mercedes et Ferrari plus bas) qui n’en ont pas moins effectué de belles courses (à commencer par Ricciardo).
+Grosjean. Résultat beaucoup plus probant qu’à Melbourne. Plus que la performance de Grosjean, dont on sait qu’il peut réaliser des courses très solides – bien que, comme à Melbourne, la comparaison avec Gutiérrez soit impossible -, c’est le comportement de Haas qui est souligner. Évidemment, il y a une grosse dose de Ferrari dans cette voiture, mais pas que. Et quand bien même, il faut encore exploiter ce potentiel. Reste que la stratégie de base est choisie de longue date (elle reste évidemment évolutive en fonction de certains faits de course), elle est la plus agressive qui soit. Opter pour 3 arrêts quand on est une écurie inexpérimentée aux stands est audacieux, et d’ailleurs, Grosjean passe 8,6 secondes de plus aux stands que Kvyat, le plus rapide sur ses trois arrêts. Mais ça marche. Bien sûr, il y aura des lendemains qui déchantent, la fiabilité ne fera pas toujours défaut qu’à Gutiérrez, certains circuits conviendront probablement moins que Bahreïn et Melbourne où l’aérodynamique n’est pas prépondérante, et le manque d’évolutions annoncé fera défaut dans un peloton qui est très dense (Haryanto ne finit qu’à un tour et 7,0 secondes de Ricciardo, le meilleur des autres). Mais il reste semble-t-il de la performance à entraire en trouvant de meilleurs réglages. Et quand on voit la bouillie que font certains de leur voiture (Ferrari, Williams et Toro Rosso), ce que fait Haas en deux Grands Prix est assez fort.
+Wehrlein. Je pressentais que Manor pourrait montrer des choses cette année. Tout de même, passer d’un ensemble moteur-boîte Ferrari 2014 qui était déjà discutable à l’époque, à un package Williams/Mercedes actuel, ça fait gagner beaucoup de temps d’un coup. Ce que peu de gens ont perçu également, c’est le compromis aérodynamique qu’il a fallu faire pour mettre la voiture 2014 aux normes 2015. La « cale » introduite entre la coque 2014 et le nez était très volumineuse, c’est autant d’air en moins sous le châssis pour alimenter le diffuseur. Même chez les autres écuries, les nez 2015 travaillés étaient moins performants que les 2014, alors il est normal qu’un nez bricolé marche encore moins. Alors si on ajoute que pendant ce temps, les ingénieurs n’ont pas pour autant arrêté de plancher (ce qui coûte, c’est de tester et de fabriquer, mais pas de réfléchir ou de concevoir), on peut mieux expliquer le renouveau de Manor. Et bien sûr il faut un pilote. Wehrlein semble être fait du bon matériau. À confirmer, même si, tout comme Haas, l’aéro reprendra de l’importance sur d’autres circuits.
+Vandoorne. En voilà un qu’on n’attendait pas. Mais lui, on ne l’attendait pas au départ tout court ! Visiblement, sa solidité malgré la très courte préparation a impressionné McLaren. D’autant plus, j’imagine, quand tu cours en sachant que le grand patron arpente le paddock en se prosternant devant tous les membres de la FIA qu’il croise pour que tu ne sois pas dans la voiture… Dommage, comme Grosjean et le pilote qui va suivre, qu’on n’ait pas pu le comparer à son coéquipier. À poursuivre… s’il en a l’occasion ! Mais si ce n’est pas pour cette année, ce sera surement une des suivantes.
+Verstappen. Plus serein qu’à Melbourne, il n’a pas raté le rendez-vous cette-fois ci. Contrairement à son écurie, qui doit franchement progresser sur l’exploitation de sa voiture. Au niveau des arrêts aux stands (heureusement pour lui, c’est Sainz qui connaît un arrêt catastrophique), de la fiabilité (là, encore c’est Sainz qui abandonne après avoir déjà été retardé par son accrochage par Pérez, ce qui nous prive de la comparaison) et de la stratégie (Sainz met des Médiums dès le 2ème tour pour tenter de finir en 1 arrêt supplémentaire, pourquoi pas. Mais il ne les amène pas plus loin que le 20ème. Pourquoi donc les mettre à Verstappen au 26ème ? Il semble acquis à ce moment-là que Verstappen ne pourra jamais finir la course sur ces pneus, alors qu’il reste en stock un train de Tendres neufs…). Les 2,6 secondes d’écart avec Grosjean sur la ligne sont peut-être à chercher dans celles perdues dans ces 20 tours en Médiums…
+Magnussen. Certes, le départ des stands a l’avantage de te faire éviter le grabuge, et lors de cette course, c’était important d’avoir une voiture propre (https://www.youtube.com/watch?v=zCGBivrCO2A). Bonne remontée ensuite, avec une stratégie presqu’aussi agressive que Grosjean (Tendres, Super Tendres, Super Tendres, Super Tendres). Et il termine devant les Manor et les Sauber, ce qui, très franchement, ne me semblait pas acquis d’avance avec cette « E23B ». Et puis il a le meilleur numéro qui soit.
Au milieu, mention exceptionnelle pour Rio Haryanto. Il subira peut-être le phénomène de remplissage et ne devrait pas être bien loin du Quinté-. De toute façon, avant même d’avoir mis les pieds dans le baquet, il était déjà dans le viseur des détracteurs automatiques des pilotes payants. Mais s’il y a bien un effet bénéfique à l’explosion des coûts, c’est la barrière à l’entrée qui est beaucoup plus difficile. Aujourd’hui, on ne peut pas débarquer avec un palmarès vierge et un petit sponsor comme dans les années 1990. Il faut à la fois plus de talent (quelques résultats plus ou moins bons en GP2 ou en 3.5) et plus d’argent (au bas mot, au moins 10 millions de dollars, donc un gros sponsor comme Pic, ou un État comme Maldonado ou Hayanto, ou un riche membre de la famille comme Van der Garde ou Chilton, ou encore un mécène très généreux comme Ericsson). Bien évidemment, Wehrlein se montre meilleur que lui. Malgré tout, il a ramené sa voiture à bon port, n’a pas fait d’erreur flagrante, et ne s’est pas fait mal voir des pilotes qui lui ont pris un tour. C’est tout ce qu’on lui demande pour l’instant. Les exemples récents de Van der Garde, Chilton et Ericsson montrent qu’on peut progresser. Espérons pour lui qu’il suivra ce chemin et pas celui de Pic ou Nasr qui ont eu du mal à le faire.
-Massa. Il finit 7,0 secondes devant Bottas… mais ce dernier a eu un drive through, a eu des arrêts moins rapides, roulait avec le vieil aileron (et en plus l’avait endommagé), et a fait tenir ses Médiums plus longtemps à tel point qu’il a pu finir en Tendres usés. Globalement, les choix de Williams sont une énigme. Là où (presque) tout le monde avait pour la course un train de Médiums neufs (usés pour Sauber) et au moins un de Tendres neufs, eux en avaient deux de Médiums Neufs et un de Tendres usés. Mais surtout, lors de la seule séance disputée dans les conditions du Grand Prix, ils n’ont pas pris la peine de tester les pneus Tendres, contrairement à Haas – pour prendre un exemple choisi totalement innocemment, évidemment. Après, peut-être que leur vrai problème est davantage une voiture qui mange les pneus que la stratégie, ou d’une voiture qui ne supporte pas les pneus Tendres et au-delà. Et qu’à partir de là, ils se sont sentis forcés de conserver les Médiums. M’enfin ce serait dommage vu que le pneu Tendre sera présent sur tous les Grands Prix… En plus, ils font un run totalement inutile en Super Tendres neufs en fin de Q2, un train qui n’a servi qu’à ça ce week-end. Et puis quand même, ça ne coûte rien d’essayer sur une seule voiture… Tout ça est bien dommage, parce que cette Williams reste une bonne voiture qui malgré les ratés fait 8 et 9. En plus, il y a du mieux dans les arrêts aux stands, ceux de Massa étaient les deux meilleurs de la course.
-Pérez. Responsable de l’accrochage avec Sainz. Piégé en qualifications. Hülkenberg finit devant avec une stratégie me semble-t-il bien plus bancale. Mais aussi pour pénaliser la mauvaise course de Force India, qui s’explique certes par les déboires des deux pilotes, mais pas seulement. Même en enlevant 30 secondes, ils sont derrière Vandoorne. Attention parce que cette année, la lutte est plus féroce encore qu’en 2015. Si aucune version B n’arrive comme l’année dernière, c’est plutôt inquiétant.
-Bottas. Complètement à la ramasse dans le premier virage. Et tout ce qui a été dit sur Williams ci-dessus.
Un mot (après relecture, LOL) malgré tout sur Mercedes et Ferrari. Hamilton fait une bonne course avec un matériel endommagé, mais il est difficile d’évaluer réellement la performance que cela représente, au-delà de l’estimation d’une seconde au tour de Mercedes, que je trouve extrêment optimiste. Avec les problèmes de Räikkönen (départ pas aussi catastrophique qu’à Monza mais presque : c’est bien beau de n’avoir qu’une seule palette plus sensible, encore faut-il qu’elle adhère bien avant le gant…), d’Hamilton (j’y reviendrai en évoquant Bottas) et de Vettel (je ne vais pas appuyer dessus outre mesure puisque les soucis de fiabilité de Ferrari sont criants), c’était plié dès le départ pour Rosberg, en dehors de tout événement non prévu. Je m’explique.
Räikkönen parvient à prendre la deuxième place dans le 7ème tour. Il pointe déjà à 11,8 secondes de Rosberg, et, probablement à cause de l’usure due à l’effort produit pour remonter dans les turbulences, il concède encore quelques secondes avant de s’arrêter. Rosberg en fait de même le tour suivant. L’écart est alors au 14ème tour de 11,3 secondes. Un écart important mais la course est encore très longue, et je ne vois pas Rosberg assurer de trop. Après tout, ça ne représente qu’un peu plus d’un quart de seconde au tour sur le restant de la course. Donc je considère que les deux font leur course, mais Rosberg un peu plus sur la réserve. Malgré ça, l’écart repart à la hausse et Räikkönen pointe à 15,9 secondes avant son deuxième arrêt. Rosberg couvre une nouvelle fois (arrêt au tour suivant et avec les mêmes pneus) mais l’arrêt est long. Pourtant, en revoyant les images, la voiture est reposée assez vite. En étant tâtillon, la préposé au cric avant a du mal à reposer la voiture, mais aucune opération n’a pris du temps : en réalité, c’est simplement le feu vert qui tarde. Alors a-t-on pris du temps pour s’assurer que tout était serré correctement et que personne n’arrivait dans les stands avant de le relâcher ? Toujours est-il que le premier écart après cet arrêt, après 31 tours, est de 9,1 secondes. Mine de rien, c’est un matelas encore confortable (3,5 dixièmes au tour). Et sur le rythme pur, malgré un bon début de relais, Räikkönen ne parvient pas à reprendre du temps. Alors ce relais est Super Tendre est écourté, pour une longue fin de course en tendres. Curieusement, Mercedes ne réagit pas instantanément et fait rentrer Rosberg deux tours après. Craigniait-on un relais trop long ? Un retour en plein trafic ? Le fait est qu’en ressortant, l’écart n’est plus que de 3,8 secondes. Mais en réalité, Räikkönen n’est meilleur que sur les tours de rentrée et de sortie. Pendant les relais, au pire Rosberg maintenait l’écart, au mieux il le creusait. Il réitère lors du dernier relais, en commençant par un 1:34.4 que Räikkönen n’a jamais pu approcher deux tours avant (1:35.1). Les choses se tassent et chacun se résoud à rallier l’arrivée à sa place.
Tout ça pour dire quoi ? Que les analyses qui ne prennent pas en compte les circonstances de course en se basant purement sur l’évolution de l’écart sont incomplètes : à un moment, on ne peut pas dédaigner le fait que Rosberg est devant, ne peut que perdre du temps à chaque undercut de Räikkönen, n’est plus autant à fond que le Finlandais parce qu’il a de la marge – ce que montre le petit coup d’accélérateur quand la menace s’est faite plus présente – mais a un rythme meilleur que Räikkönen. Et que de toute façon, il aurait déjà fallu prendre un bon départ et avoir Vettel en course : ça fait deux courses de Ferrari qu’on tente de refaire avec des si (si la bonne stratégie, si le bon départ, si pas d’abandon), mais la vérité est que Mercedes a été globalement meilleure les deux fois, avec pourtant un Grand Prix d’Australie qu’ils ne se sont pas rendu facile. Avoir une voiture rapide ne suffira pas, et à ce niveau du championnat, il n’y a pas photo, Mercedes, malgré quelques faiblesses, est devant. Les médias, qui ont bien besoin de positiver vu le climat de l’information F1 en ce moment, nous vendent un duel pour le titre qui, au vu de ce qu’ont montré ces deux premières courses, n’aura pas lieu. Ferrari gagnera cette année, c’est une quasi-certitude, plus que l’année dernière, probablement, mais il faudra sacrément élever son niveau de jeu global pour que la lutte se fasse sur la longueur et pas ponctuellement.