F1 2010 passe au SAV
|Le Service Après-Vente de la F1 a testé pour vous le jeu « F1 2010 » de Codemaster, quelques jours à peine après sa sortie.
Découvrez donc les images du jeu et nos premières impressions sur ce jeu tant attendu !
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88 Comments
Bon finis de baver devant vos commentaires et l’achat vient d’être effectué via la boutique du SAV et je viens d’annuler tous mes projets pour les 2 week-end à venir !!!
PS : Dans la boutique pourriez vous mettre GT5 en précommande , s’il vous plait .
Il y a les 3 éditions de GT5 dans la section jeu…
Nous avons d’ailleurs mis à jour la boutique avec les dossiers Michel Vaillant consacré à Prost (déjà sorti) et à Senna (prévu en novembre).
Roooooh je viens de terminer une course énorme ! Avant tout je précise que je joue en Expert ( sans aides et IA en légendes ) avec des courses à 75 % ( 44 tours à Melbourne ). Je pars 12ème avec ma Lotus, au 6ème tour je suis remonté en 7ème place malgré mes pneus durs, vers le 12ème tour la pluie fait son apparition… Au 15ème tour je m’arrête pour chausser des pneus pluie, alors que tout le monde met des pneus intermédiaires, mon pari sera payant puisque peu après tout le monde rentre une nouvelle fois pour monter des pneus pluie, ceci me permet d’être propulsé à la 4ème place , devant moi le trio de tête est composé par Hamilton, Vettel, et Alonso qui même avec le niveau de merde de l’IA sous la pluie sont beaucoup trop loin pour que je puisse prétendre au podium. Bref, du 22ème tour au 41ème je me contente de faire une course tranquille en assurant ma 4ème place jusqu »u 42ème tour où Hamilton / Alonso / Vettel décident tous de rentrer aux stands pour mettre des intermédiaires ! Au 42ème tour grâce aux retardataires je passes Hamilton ! Mais c’était trop beau pour être vrai, au 43ème tour mon pneu arrière droit explose ( pas si étonnant faut dire que mes pneus pluie ont dût tenir 29 tours ) je ne peux empêcher de laisser filer Alonso et Hamilton, ne voulant pas perdre un podium qui m’était promit je décides de la jouer Gilles Villeneuve en me mettant à la F1 à troies roues , dérrière moi Vettel et Webber me mettent la pression mais je réussis à faire un tour complet de Melbourne sur 3 roues sans me faire doubler ! Au final même si je suis un peu deg’ de voir la victoire me filer entre les doigts à l’avant dernier tour, je suis incroyablement heureux d’avoir terminé sur le podium alors que je ne demandais que quelques points .
@ Mavericks : Il faut que tu fasses les 3 EL et que tu réussisses chaque objectif R&D de tout les EL pour pouvoir utiliser la cartographie en course
@ Tumyeto : Je joue au pad sur ma 360 et je ne le trouves pas si injouable
Oups j’ai copier trop de choses d’un post que j’ai fais sur un forum Dino tu pourrais supprimer la dernière partie je te prie ?
LOL grillé ^^
Ah parce que Môssieur Sato-Kamikaze nous ponds du copier/coller de ses commentaires sur d’autres sites ! On mérite pourtant des commentaires exclusifs !
Pour la peine, par décision unanime de moi-même, je laisserais ta bévue bien en évidence !
Tiens, tant qu’on y est : un petit défaut dans le jeu (c’est dire s’il est bien, il faut 15 jours pour commencer la liste des défauts)… Lors des essais, lorsque l’on regarde les chronomètres secteur par secteur, ce sont les temps du dernier tour (celui d’entrée au stands) : impossible donc de faire la comparaison et de voir où on peut encore améliorer… Personnellement, ça me gêne beaucoup ce genre de petit détail !
Alors, là je ne suis pas d’accord ! Je viens de me faire arnaquer mais d’une façon !
A Barcelone, je place mon HRT en 11ème position sur la grille de départ grâce à de bons réglages… Je fais un bon départ et me retrouve 7ème à la fin du premier tour… Je ne me fais dépasser par personne jusqu’à mon arrêt au stand au 5ème tour (et ce malgré l’insistance d’un Schumi qui s’est gauffré dans le premier S avec Rosberg au départ)…
Je rentre au stand, sans lâcher l’accélérateur, juste devant Schumacher et Kubica… Mon arrêt se déroule, l’homme à la sucette me laisse tout de suite sortir et je me retrouve derrière… Schumacher et Kubica !
Je ressors 17ème, en durs, et je ne m’inquiète pas et pense regagner toutes les places que j’ai perdu à la faveur des arrêts de mes rivaux ! Et en effet, je gagne 2 places ! Plus une au profit d’une sortie de piste d’Alonso !
Et derrière moi, c’est la file d’attente avec une bonne demie douzaine de voitures à la queue leu-leu ! Je pensais avoir changé de pneus au stand mais en fait j’ai du changer de voiture et je dois désormais piloter une deux chevaux pour me faire ainsi rattraper par des mecs qui ne m’arrivent même pas à la cheville en qualification !
Résultat, je finis 17ème (après quelques erreurs dues à l’énervement de me faire ainsi arnaquer). Et le clou du spectacle c’est que je suis à plus de 30 secondes de Lewis Hamilton qui a fait un tête à queue en début de course juste sous mes yeux et qui fini la course 11 places devant moi !
Là, honnêtement, je suis dégouté du jeu….
Je ne comprends pas du tout le fonctionnement du jeu à ce moment ! Peut-être cela est-il dû à ma stratégie : tendres sur 5 tours et durs sur les 8 tours restants. Mais si je commence par des durs, je me fais bouffer par les petits cons en tendres derrière moi et le résultat final est quasiment le même. Peut-être adopter une stratégie à 2 arrêts, mais dans ce cas, je fais un arrêt de plus que les autres et je perds tout le bénéfice de cette stratégie…
En 5 courses en carrière, ça fait 2 fois que je me fais avoir comme ça et d’un coup le jeu vient de perdre 2 étoiles sur les 5 que je lui avais donné !
Personnellement, j’essaie toujours de faire au minimum la moitié de la course en tendres, histoire de vraiment aller au bout de ce que je peux en tirer. Ensuite, je chausse les durs, et j’ai rarement des problèmes de différence aussi importants que les tiens.
En course, je suis plus emmerdé par la gestion de l’homme à la sucette que par le reste en réalité ^^ C’est aussi d’ailleurs pour ça que je rentre « tard » pour éviter les problèmes de trafic aux stands.
Bah avec une durée de vie de 6 tours des pneus tendres, je ne pouvais pas aller plus loin…. J’ai été un peu économe dans ma stratégie mais pour un tour de moins en tendre, je perds énormément…
Pour la différence entre tendres et durs je me demande si elle n’est pas proportionnelle à la durée de la course… En réalité l’écart serait de 0.8 secondes, mais si tu fais 20% de la longueur d’une course, la différence est multipliée par 5 (4 secondes)…
Pour le trafic au stand, je n’ai pas eu de pb, c’est justement ça le problème… Schumi et Kubica qui étaient juste derrière moi à l’entrée me doublent alors que mon équipe me change juste les pneus (et j’ai les ravitaillements automatiques).
Je ne comprends pas comment j’ai pu perdre 7/8 places en course sans faire d’erreur majeure. La seule explication que j’ai c’est une différence disproportionnée entre pneus durs et tendres !
Surtout, ce sont deux bugs connus : les pilotes qui ne ravitaillent pas, et le fait que lollipop-man laisse passer tout le monde
Ils ont prévu une mise à jour d’ailleurs !
C’est vrai que c’est dommage que ces bugs viennent gâcher le jeu !
Je n’ai pas eu de bug à ce niveau pour ma part.
Dans ma carrière, je fais les courses complètes et j’ai adopté une stratégie assez intéressante quand la course se déroule entièrement sur le sec.
Exemple de la Malaisie : 56t. Je démarre avec tendres durant 10 tours (après ils cloquent), puis j’enfile les durs pendant 30-35t, puis je rentre une 2e fois aux stands pour remettre des durs pour finir la course. Cette stratégie est assez payante, j’ai fini dans les points avec ma Lotus avec une simulation pneus difficile à gérer.
J’ai noté que certains pilotes IA (environ la moitié) effectuent également 2 arrêts durant une course sur le sec, quand les autre sont sur 1 arrêt : c’est très intéressant avec la simu pneus.
« Magnifique, enfin une pole pour Lotus après toutes ces années ! »
Voilà ce que m’a dit mon ingénieur quand j’ai réalisé le meilleur temps en Q3 en Chine.
Parvenu sans difficulté en superpole, je décide d’utiliser, comme mes concurrents, des intermédiaires (pluie légère) et assure un 8e temps (à 2s du poleman Hamilton). C’est alors que la pluie a cessé à environ 2 minutes de la fin. J’ai juste eu le temps de chausser des tendres et de claquer le meilleur temps sur une piste pas tout à fait sèche, 2 dixièmes devant Hamilton, qui, comme ses collègues, était resté en intermédiaires même s’il avait amélioré.
Pour la course, on m’annonce pluie légère durant 34% de la course. Reste à savoir quand cela commencera et quand elle se terminera…
Ah il est possible de se faire disqualifier de la course ! J’ai testé voir si c’était possible, et il faut pas y aller de main morte quand même
Je viens de finir ma deuxième course (seulement!), à Melbourne, c’est super jouissif ! En qualifs, avec ma Lotus, après avoir fait des super temps en FP, j’ai crevé et je suis donc parti 24ème; mais en course, fantastique remontée, et en plus des arrêts des autres pilotes, je me retrouve 10ème, à me battre contre Rosberg pendant 3 tours ! On ravitaille en même temps, et on ressort… 23ème et 24ème ! Tout est à refaire… Je grapille dixième par dixième, puis je le double, mais à trois virages de la fin, crevaison, je dois le laisser passer pour terminer laborieusement 24ème ! Frustrant au niveau de la perf, mais niveau sensations c’est tout simplement génial 😛
Un petit point noir : l’ingénieur qui me dit : « quel fantastique dépassement » alors que je viens de doubler un mec qui était aux stands
@Sato-K : oui, je suis faible, moi aussi je recopie xD
J’ai du recommencer ma carrière après avoir fait l’erreur de quitter le jeu suite aux essais libres en Chine (ou j’ai relevé l’objectif de recherche et développement). Bref, je me présente à Bahrein confiant avec la Virgin, faut dire que je commence à le connaitre ce tracé.
Je réalise une très bonne qualif dans laquelle j’atteins la 6ème place sur la grille. Comme d’habitude, je me fais manger par 4 ou 5 bagnoles sur la ligne droite au départ, je parviens à m’extirper en 7ème position à la sortie du premier virage. Le début de course est plutot tranquille, j’économise un peu mes pneus, puis vers le 4ème tour, j’entame la partie agressive de ma course. Je remonte en 5ème position en profitant de l’affrontement entre Webber et Button. Je les distance un peu, mais les tendres arrivent en fin de vie, je me contente d’assurer le tour de rentrée au stand, ce qui me fait perdre toute l’avance gagnée sur les deux autres. Je rentre, chausse evidemment les durs, et repart vers la 14ème position. Dans le trafic et en attendant d’avoir des pneus en températeur, je me contente d’être prudent. Quand je sens que la voiture réagit mieux avec les pneus en température j’attaque. Les voitures devant moi rentre aux stands, je me retrouve 7ème, au prise avec Rosberg qui me tient en respect pendant deux tours avant que je tente une manoeuvre un peu osée dans la chicane de la « nouvelle partie ». Je le touche légèrement et paf, 10 secondes de pénalité. La j’entre un peu dans l’état d’esprit du mec aigri et je décide d’aligner les tours en prenant des risques, pour commencer à refaire mon futur retard. Je double le 6ème, puis dans le tour suivant, le 5ème. Je me retrouve cette fois en lutte avec Schumi pour la 4ème place. Il ne me rend pas la tache facile, mais j’en viens à bout en bout de ligne droite, avec un freinage retardé au maximum. Je suis relativement loin derrière Button et il reste 7 tours. J’enchaine deux très bons tours (mes deux meilleurs) et je reviens sur ses talons. Au bout de la ligne droite des stands, je suis environ une seconde derrière lui quand nous prenons le virage. En plein milieu de la trajectoire, une Red Bull partie en tête à queue, c’est Webber. Dans un réflexe, j’évite Button qui était sur la gauche et qui a grandement ralentit, je me retrouve face à la RBR que je parviens à éviter aussi, je réaccélère en travers et la, alors que je venais juste de passer 2ème, mon pneu arrière droit éclate. Je me retrouve obligé de boucler pratiquement l’intégralité d’un tour sur trois roues, en voyant défiler tous mes adversaires : Button, Hamilton, Webber, Schumacher, Vettel me passent devant je rentre aux stands en 7ème position. Vu qu’il ne reste que 4 tours, je décide de chausser les pneus tendres (il m’en restait un jeu) et d’y aller à fond à fond à fond !
Je ressors 17ème, et la je fais ma meilleure fin de course depuis que j’ai le jeu, j’enchaine les dépassements tout en réalisant des tours très correctes, je parviens à dépasser Schumacher dans le virage précédent la ligne droite d’arrivée pour finalement me classer 7ème. Après les pénalités, je suis finalement classé 10ème. Mon plus beau point, assurément.
Ce jeu est génial.
Ben dis donc, c’est animé chez toi ^^
Tu joues avec quelle difficulté et quelles aides ?
Je viens de vivre un des moment les plus drôles…
Fâché pour le moment avec le mode carrière, je fais plusieurs GP… Ce soir, je me prépare alors à faire une petite course en Turquie au volant de la F10 de Fernando (autant se faire plaisir). Parti 7ème, je remonte à la 5ème place au premier virage et gagne 2 nouvelles places pendant le premier tour (sur une course de 3 tours). 3ème, je me retrouve juste derrière Button et Vettel ! Faisant un peu trop de zèle dans le 2ème tour, je fais un demi tête à queue et décide de ne pas utiliser de flashback vu qu’ayant rebondi sur le vibreur je me retrouve dans le sens de la marche. Retombé à la 7ème place, je dépasse Massa, Schumacher puis Hamilton pour me retrouver 4ème derrière Button, Vettel et Webber. Et là, moment magique : les deux Red Bull se rentrent dedans ! Webber tentant de dépasser Vettel à l’entrée de la chicane assez rapide juste après le virage n°8. Je suis parti dans un fou rire et il m’a fallu quelques longues minutes avant de finir la course très très loin derrière !
Un jeu réaliste 😀
Sinon, je joue avec l’IA en difficile, je passerais en légende quand je connaitrais mieux tous les circuits. Pas une mince affaire.
Pour les aides, j’utilise la boite auto, pas de frein ou d’ABS, controle de traction intermédiaire le limitateur de vitesse dans les stands. Dégats maximums, usure des pneus et sanctions commissaires réduites.
Après ma pole de Shanghaï, je finis 3e en ayant géré la course, que ce soit sous la pluie ou sur le sec, j’ai bien résisté. Je tiens à rappeler que je joue en no ABS no freinage assisté, control intermédiare, pénailté réduite, pneus carburant dégâts réalistes et IA professionnel.
Sur ma lancée de la Chine et grâce notamment à de nouvelles pièces, je me qualifie en 2e position sous une piste qui s’assèche avce mes pneus sec durs. La météo prévoit forte pluie durant 26% du GP d’Espagne (66t).
J’ai fait la course à Sepang sur Lotus; après des EL catastrophiques, je passe aux qualifs en ayant l’intention de les passer rapidement… Mais il pleut et après une première salve de tours je suis huitième ! Je rentre aux stands confiant, accélère un peu le temps mais la piste jusqu’alors détrempée devient toute sèche à deux minutes de la fin, et je me retrouve 22e ! Bon bah OK alors, je vais me qualifier sur un tour… Seulement après 2 virages, sans raison, crevaison à l’arrière gauche, 22e ! Ça fait quand même deux courses de suite qu’une crevaison ruine ma qualif…
Ah voilà ce que j’appelle une super course…
Retour en Turquie mais cette fois-ci dans le mode carrière… Qualifié 6ème, grâce, comme j’ai pu le constater ensuite, au fameux virage octogonal où je prend plus de risque que l’IA du jeu, j’ai pu obtenir une 6ème place derrière Vettel, Hamilton, Webber, Button et Alonso…
Départ musclé où je me glisse au freinage entre Button et Alonso qui y laissera un déflecteur dans l’histoire. L’espagnol dépassé, il me faut quelques virages pour prendre la mesure de Button à l’intérieur en sortie du virage octogonal avant de fondre sur Webber et lui ravir la 3ème place dans le 2ème tour dans la partie très tournante après le départ, et légèrement en devers.
L’écart entre Webber et ma HRT fait ensuite le Yo-yo entre les grandes pleines charges où il me rattrape et les parties sinueuses (dont l’octogonal) où je refais la différence. Hamilton rentre très tôt, au 3ème tour, suivi, au 4ème tour de Vettel. Je me retrouve donc en tête et rentre au 5ème tour chausser des pneus durs tandis que Webber continue son chemin pour que je ne puisse plus jamais le revoir (encore un ravitaillement non respecté ?).
Mon arrêt se passe sans le moindre problème (je l’ai configuré en automatique) et je ressors 6ème devant Bruno Senna, mon coéquipier.
J’avais pris la précaution, aux essais, de faire quelques tours en durs pour en prendre la mesure, et en course j’ai été assez étonné de voir que je gardais le rythme de Rubens Barrichello qui me devançait avec des pneus en fin de vie. C’est bien la première fois que je ne vois pas mes performances s’effondrer avec les durs.
Bref, je remonte sur Rubens, qui rentre au stand, tandis qu’à la sortie des stands je tombe sur Alonso qui vient de ravitailler.
Et là, c’est LA bagarre sur deux tours… Dans les premiers virages, je me fais très menaçant derrière lui, manquant une ou deux fois de nous cartonner. Je le dépasse à la sortie de l’octogonal après l’avoir pris à fond les ballons. Mais le cochon me tasse sur la gauche de la piste avant le gros freinage de la « chicane ». Je lui sors alors un de mes freinage tardif dont j’ai l’affection toute particulière et concrétise enfin mon dépassement en le retenant dans la longue pleine charge avant la dernière chicane du circuit. Dans le tour suivant, je prends le virage 3 un peu large et il arrive à mes côté à l’abord des virages 4 et 5 que nous prenons de front. On se croise et on se décroise dans la courte ligne droite suivante et je prends de nouveau l’avantage au freinage. Je conforte mon avance dans l’octogonal mais rate mon freinage à la chicane ce qui lui permet de revenir dans mes échappements pour la longue pleine charge qui se termine par un nouveau freinage tardif suivi d’une plongée dans l’intérieur du virage.
Dans l’histoire, notre bataille nous a fait perdre du temps et Barrichello est revenu… Alonso regarde donc de plus en plus dans ses rétro et me laisse d’avantage d’air.
Les derniers tours seront sans erreurs et je termine 2ème à 5s de Webber !
Après plusieurs péripéties, j’ai fini par recevoir hier mon jeu. Et donc hier soir, ni une ni deux, je me lance dans le jeu. Mais, ayant la flemme de brancher le volant, je débute avec la manette. Et là, ce fut la catastrophe !
Me débrouillant bien avec la manette sur les jeux de voitures et arrivant à appréhender ceux-ci un minimum dès les premiers tours de roue, quelle ne fut pas ma surprise de ne pas arriver à aligner un tour propre (sans sortie de piste ou tête à queue) au bout de quelques tours sur le circuit de Silverstone. Enfin, au bout d’une heure, j’ai finalement réussi à enregistrer un temps. Mais je ne réussis pas à renouveler l’exploit dans les tours qui suivirent.
Ce soir, je me motive (sans trop forcer) à tester avec le volant. Je décide de faire un cintre la montre à Silvesrtone pour pouvoir juger au mieux la différence. Premier tour, j’ai tout de suite un bien meilleur feeling de la voiture et je ne fais pas de faute rédhibitoire pour le chrono. Deuxième tour, la sanction tombe : j’ai amélioré de 4,6 secondes mon tour de la veille.
Jamais je n’avais noté une différence pareille dans le ressenti de la voiture entre le pad et le volant. Par exemple, pour Forza 3, que j’ai bien entamé avec la manette il m’est encore impossible d’être au même niveau avec le volant. Peut-être la faute à un entrainement au volant pas assez long et trop discontinu…
En tout cas, ma première prise en main du jeu est excellente. Il ne me reste plus maintenant qu’à faire ma première course pour commencer à rentrer véritablement dans le jeu.
C’est clair que F1 2010 faut être très patient pour le maîtriser totalement au pad ( j’ai mit une bonne heure avant d’arrêter de sortir de la piste ) mais maintenant je joue en Expert sans souci ! Au passage Je viens de terminer ma première saison du mode carrière chez Lotus ( Difficulté expert + courses à 75 % ), je suis assez content de moi avec
– 3 podiums ( dont une victoire à Suzuka ( acquise dans des conditions très particulières ) )
– 4 poles ( dont 2 acquises sur le sec à Singapour et Montréal ! )
– 95 pts au championnat
– une 8ème place au championnat pilotes
– une 6ème place pour Lotus au champ’ constructeurs
J’ai resigné chez Lotus très tôt dans la saison et je le regrette un peu puisque j’ai atomisé mon rival alias Kubica, Renault ce sera pour la saison 3 !
C’est vrai que j’ai commencé au pad, et ma conclusion a été nette : j’ai préféré attendre une semaine mon volant !
Je suis maudit : sur les 11 GP que j’ai disputé, j’ai eu trois fois l’opportunité de l’emporter et à chaque fois, quelqu’un ou quelque chose s’est mis sur mon chemin.
Première opportunité : en Chine. Je réalise une course parfaite. Je pars 12ème, j’opte pour une stratégie agressive. Je suis 5ème au bout de 10 tours, devant moi les leaders ne sont pas très loin, je décide, malgré une usure des pneus avancée, de rester sur la piste tant que tous les autres ne sont pas rentrés. Bref, je réalise 2 tours excellents, je rentre, je ressors avec mes prime en 2ème position, derrière Hamilton. Je le harcèle pendant un tour et demi, malgré le déficit de vitesse, je retarde mes freinages au maximum et je parviens à le dépasser sur une manoeuvre osée dans l’épingle juste avant le dernier virage. Bref, le reste de la course, je gère mon avance, tout en essayant de ne pas trop monter sur les vibreurs pour ne pas abimer mes pneus. J’entre dans l’avant dernier tour, avec à vue de nez, une dizaine de seconde d’avance sur Hamilton et Alonso et beaucoup plus sur les autres. Après le virage du banking, je me prépare au freinage de l’épingle et là, à peine j’ai touché les freins que mon pneu arrière droit éclate. Tel Nigel Mansell, je controle la voiture et je me jette dans les stands qui sont, heureusement, pas très loin. Bref, je me fais passer par les autres alors que la victoire me tendait les bras. C’est malgré tout mon premier podium, petite satisfaction, mais grosse déception.
Deuxième opportunité : au Canada. Mon circuit préféré, celui que je connais le mieux (le seul auquel je jouais dans GP4 :D). Bref, je décroche assez facilement la pole, en me payant le luxe de le faire en pneus durs. Je peux donc avoir une stratégie très intéressante et distancer mes poursuivants en alignant les tours rapides en fin de course. La seule chose que j’avais oublié, c’était que j’allais être vulnérable sur les premiers tours, avec les autres juste derrière moi en tendres. Le départ est donné, je passe le premier virage en tête, puis j’enchaine sur le second virage et dans la montée vers la première chicane rapide, Alonso me dépasse à une vitesse incroyable. Je suis surpris et je ne réagis pas assez vite, il prend directement 2 ou 3 secondes d’avance pendant que moi je suis touché par Vettel dans le virage qui suit la première courbe rapide. Celui ci part en tête à queue, moi à l’équerre, je me rattrape, mais lui derrière est percuté par Button et va devoir repasser par les stands. Bref, la course est longue et je dois enchainer les tours car Alonso a rapidement pris de l’avance. Autant en qualif je dominais facilement, autant en course je n’ai pu faire que jeu égal avec un Alonso énorme. Les ravitaillements arrivent et j’espère refaire une partie de mon retard sur le changement de pneus. Au bout de 2 tours, je sens une vraie différence : la voiture plus légère et en tendres me permet d’attaquer vraiment fort. Devant, Alonso ne cède pas aussi facilement : certes, je reviens, mais pas aussi vite que je l’aurais espéré. Il me faut en réalité l’aide bien involontaire de Vettel qui va retarder copieusement l’Espagnol pendant 1 tour et demi. Dans la chicane « Bienvenue au Québec », je suis très près d’Alonso, mais pas encore assez pour tenter quelque chose. N’ayant pas la volonté de commettre une erreur sous la menace de Webber et Button, je préfère attendre le dernier moment sachant que je vais à coup sur le dépasser. En fait, ce dernier moment va arriver très vite, trop vite, puisque dès l’amorce de la première chicane rapide, je sens que je peux y aller. Malheureusement, je me précipite et en mordant vigoureusement le vibreur et je commence à partir en couille, gauche, droite, gauche, droite. Le mur m’arrête, mon aileron est touché mais je peux repartir relativement vite en évitant le retour de Webber. Bref, il reste 5 tours et je sens que la voiture est devenue presque « undrivable » (Sebastien Bourdais™). Webber revient très vite et la fin de course se résume à la défense de ma deuxième place, que je conserve finalement, non sans amertume.
Troisième opportunité : en Allemagne. Je ne connais pas bien le nouveau Hockenheim, mais les 3 séances d’essais me permettent de l’apprivoiser et, contre mes attentes, je réalise la pole pour 20 millièmes devant Hamilton. Au départ, et pour me donner un petit matelas, je prend des risques au premier virage et ca passe finalement malgré le fait que la voiture soit d’une raideur affolante sur les bosses. Bref, je réalise une première partie de course très bonne, seul Vettel parvient à me suivre, 3 secondes derrière (estimation TNS Soffres). Lorsqu’il ravitaille, je suis seulement suivi par Button assez loin derrière. Je continue à attaquer avec mes tendres et je rentre aux stands avec de l’avance. L’arrêt se passe bien et je vois que Button est relativement loin dans la pitlane, je vais pouvoir repartir tranquillement devant lui. Eh bien non : mon lollipop man décide de laisser passez Button. Je perds un temps fou en plus d’une place. Devant, seul Hamilton n’a pas ravitaillé, je suis donc 3ème, à quelques secondes de Button. Lorsque Hamilton ravitaille, celui ci vient s’intercaler entre Button et moi, je maudis mon équipe. Je reviens très près d’eux, mais suite à une réaccélération trop brusque en sortie de l’épingle, je perds toute chance de les rattraper avec des pneus qui se dégradent. Dans l’avant dernier tour, un peu de chance, Hamilton se fait piéger dans le Stadium et je récupère la seconde position.
Je l’aurai un jour, je l’aurai !
Moi, en Allemagne, jamais mon Fernando me serait passé devant à la sortie des stands si je pouvais ravitailler…
Décidément, Lewis est un petit de chez petit ! (sic)